École d'automne sur les méthodologies de recherche en éducation
dans les contextes africains
Université métropolitaine Nelson Mandela, avril 2016
Port Elizabeth, avril 2016 - Le Centre germano-africain de l'Est et du Sud pour les méthodologies de recherche en éducation et la gestion (CERM-ESA) a organisé la première phase d'apprentissage intensif pour ses boursiers de master et de doctorat et pour les étudiants associés qui travaillent sur des sujets liés au CERM-ESA. 25 étudiants de troisième cycle du Kenya, de Tanzanie, d'Ouganda et d'Afrique du Sud se sont penchés sur les paradigmes de la recherche et les cadres théoriques, les méthodologies qualitatives et quantitatives et se sont plongés dans les questions d'éthique et les approches participatives et mixtes dans les contextes éducatifs. Les étudiants ne sont pas les seuls à avoir bénéficié des cours et des discussions : 15 membres de la faculté du CERM-ESA - membres du personnel de l'école d'éducation de l'université Moi, de la NMMU, de l'université d'Oldenburg, de l'institut de gestion de l'Ouganda et de l'université de Dar es Salaam - qui supervisent les boursiers du CERM-ESA, ont participé activement aux cours. L'un des superviseurs de l'université Moi a déclaré, à propos des deux semaines passées à NMMU "Les apports et les discussions nous ont aidés à mieux aider et superviser nos étudiants et nous avons beaucoup appris sur des méthodologies nouvelles et créatives que nous n'avions jamais appliquées auparavant."
Pour les huit boursiers kényans de niveau master, l'école d'automne n'était qu'un début : ils sont inscrits au programme de master en éducation / recherche de la NMMU et séjournent pendant 3 mois à Port Elizabeth pour travailler avec leurs superviseurs. Divers cours leur sont proposés pendant cette période, par exemple un cours intensif sur les méthodologies de recherche en éducation comparées au niveau international. "C'est une excellente occasion pour nous de nous engager dans la recherche et non seulement de l'apprendre, mais aussi de l'appliquer dans nos propres projets. Nous travaillons très dur et notre rêve est de venir en Allemagne l'année prochaine pour présenter nos résultats lors d'une conférence de recherche", déclare Ezekiel Chemwor, l'un des étudiants kenyans de Port Elizabeth.
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