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    • Perspectives sur le pacte de mobilité du travail Allemagne-Kenya à l'ère numérique

      On peut émettre l'hypothèse que le nouvel accord sur la mobilité de la main-d'œuvre entre l'Allemagne et le Kenya, qui attire l'attention, tout en offrant un soulagement immédiat aux deux pays - la main-d'œuvre vieillissante de l'Allemagne et la crise du chômage des jeunes au Kenya - pourrait en fin de compte entraver le développement à long terme du Kenya en exacerbant la fuite des cerveaux. Toutefois, si elle est correctement gérée, elle pourrait également promouvoir la circulation des cerveaux, en favorisant le transfert de compétences et le renforcement des capacités, ce qui profiterait aux deux pays à long terme. À l'ère numérique, la migration physique n'est pas le seul moyen d'accroître la productivité de la main-d'œuvre. Depuis longtemps, le DAAD défend ardemment l'idée que les Kényans qui ont été parrainés pour étudier en Allemagne retournent dans leur pays pour construire leur économie, ce qui est une noble initiative et un élément clé du concept plus large de circulation des cerveaux par le biais du transfert de compétences. Les récentes suggestions visant à encourager les boursiers du DAAD à rester et à travailler en Allemagne n'ont rien changé au fait que la finalité souhaitée pour eux est de retourner dans leur pays d'origine et d'avoir un impact sur l'économie nationale, en tant qu'experts rentrés chez eux.

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